Question du vendredi dans une agence éditoriale
Friday scoop : le vendredi est LE jour où il ne faut surtout pas procrastiner.
(Pour celles et ceux qui auraient un doute sur la définition de « procrastiner », il s’agit de remettre au lendemain ce que l’on pourrait faire le jour-même.)
« Mais pourquoi donc le vendredi est-il le jour de la non-procrastination ?», vous demandez-vous, fous d’impatience à l’idée d’apprendre quelque chose.
Si, si, « fous d’impatience » est la bonne expression ! Je vous ai senti tressaillir, certains ont même pensé : « De tels décasyllabes [Mais-pour-quoi-donc-le-ven-dre-di-est-il/le-jour-de-la-non-pro-cra-sti-na-tion] doivent provoquer, c’est évident, une réponse fracassante ! ». Certains plus « classiques » n’ont pas trouvé le déca-rythme, défendant envers et contre tous, la beauté de la diérèse sur « procrastination » qu’ils prononcent donc « pro-cra-sti-na-ti-on », mais, curieux de nature, ces classiques patentés, mais peut-être très tentants, se demandent bien quel est le lien à établir entre « vendredi » et « procrastination ».
Et chacun de répéter la question à sa manière :
« Mais pourquoi donc le vendredi est-il le jour de la non-procrastination ? »
« Mais pourquoi donc le vendredi est-il le jour de la non- pro-cra-sti-na-ti-on ? »
La réponse est déconcertante de simplicité :
Pour éviter d’avoir à travailler le samedi, eh pardi !
« Tout ça pour ça… », diront les plus grognons.
« Mouais, peut mieux faire… », commenterons les plus optimistes 😉
« … Ah oui, ça y est ! J’ai compris ! », se réjouiront les plus lents.
« Bon au moins elle l’a fait… », dira Aurelie Gérardin de www.revealingtrip.com
Bon week-end à présent !
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